Dès ma première visite, je m’étais promis d’écrire une chronique gourmande seulement j’en suis déjà à ma troisième visite sans n’avoir rien écrit. Je répare cet oubli aujourd’hui car l’adresse mérite le détour.
Mais qu’est ce qu’un mochi ? Je pourrai utiliser le sous-titre utilisé par l’enseigne et dire : douceur nippone. Vous vous voulez en savoir plus, non ?
Précisons donc : la Maison propose des « daifuku mochis » , pâtisserie à la texture veloutée, comme une peau de pêche, constituée d’une fine enveloppe de riz et fourrée d’une crème de haricot sucrée qui peut être aromatisée mais rien que nature (à l’anko donc) c’est déjà un délice que je recommande vivement!
Cela dit, l’ensemble des variétés goutées est bien agréable. Mon préféré : c’est l’original à la pâte d’haricot rouge (anko).
C’est suite à un séjour en 2011 au Japon que Mathilda Motte à décidé de reproduire ces douceurs qu’elle ne trouvait pas en France (elle était devenue accro tout comme moi qui suis en train de succomber). Ce sont donc des mochis made in France, bio et végan en prime, qu’elle à lancé avec succès. Il y a aussi les mochis glacés, rafraîchissants en été.
Succès non démenti, avec un site web qui propose des assortiments et un merchandising au couleur de la Maison en vente par correspondance et une boutique à Paris, 39 rue du cherche midi (75006).
Il y a aussi des cours dispensés par la patronne elle même en Touraine proche du site de production.
Une précision est néanmoins importante : la boutique est petite, il y a souvent la queue sur le trottoir et seulement trois tables pour se restaurer sur place. Il vaut mieux prendre à emporter. La boutique est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h30.
On s’y croisera peut-être.
Ps : Père noël, si tu lis cet article, tu sauras que je rêve d’avoir le kit mochis mochis disponible sur le site.