Théâtre

Tristesses

z299

 

Quelle tristesse sur l’ile Tristesse…

A la vue de certains retours, je m’attendais à un vrai thriller politique mais c’est loin d’être le cas ne serait ce que par la lenteur de la pièce. Le rythme est vraiment très lent ce qui a éteint mon intérêt pour la pièce.

Mais résumons les faits : Sur une petite île du Danemark, qui a connu des jours meilleurs (ils ne sont plus que 8 habitants sur Tristesse), un évènement dramatique s’est produit. Ida Heiger s’est suicidée en se pendant au drapeau national. Les habitants préviennent la fille d’Ida qui est la dirigeante d’un parti populiste qui a le vent en poupe et celle ci va venir sur Tristesse. Cette mort va être le déclencheur de règlements de compte et de révélations.

Niveau décor, nous sommes bien dans le nord de l’Europe puisque nous avons une enfilade de petits chalets typiques dont nous verrons l’intérieur grace à des caméras qui demeurent invisibles.

Franchement sur le papier, l’histoire s’annonçait interressante mais  la mise en scène d’Anne-Cécile Vandalem plombe le rythme en plus d’utiliser des effets déjà vus. Les chanteuses sont vraiment bonnes mais par moment la musique et leur chant n’ont rien à faire dans cette pièce hormis ralentir l’intrigue. Les comédiens ne m’ont pas convaincu hormis les deux adolescentes Malene et Ellen.

A l’Odéon, jusqu’au 27 Mai 2018.

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